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Site « Willkommen in Deutschland » ou comment mieux connaître l’Allemagne et les Allemands

Bienvenue sur la page Wir lieben Deutschland !, la page où vous avez la parole ! En effet, chaque saison, nous vous proposons de donner votre avis sur un sujet en rapport avec l’Allemagne. Pour cet édition, nous allons parler des préjugés des Français à l’encontre de l’Allemagne. Depuis la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne était un pays mal vu par de nombreux Français. Aujourd’hui, nous pouvons constater que malgré que l’Allemagne ait retrouvé sa notoriété, les clichés sont toujours ancrés dans les esprits de quelques Français.

Les préjugés et les clichés chez les adultes

Plusieurs personnes, des deux sexes et de différents âges, ont accepté de nous donner leur avis sur ce sujet :

Manuel, 28 ans, vivant à Wiesbaden. « Quand je suis parti m’installer en Allemagne, il y a maintenant plus de deux ans, on me prenait un peu pour un hurluberlu, mais pourquoi l’Allemagne ? Maintenant j’ai plutôt l’impression qu’en France beaucoup sont devenus très fans de ce pays, et je n’ai plus du tout droit à ce regard interloqué quand je dis y vivre, au contraire. J’ai même parfois l’impression que ce pays est idéalisé à outrance en France. Je ne sais pas ce qui explique ce revirement en l’espace de deux ans. L’Allemagne est un pays bien, je m’y suis intégré, je m’y plais, mais c’est loin d’être le paradis non plus. Comme on dit : « apprécier les qualités de quelqu’un, c’est le connaître, supporter aussi ses défauts, c’est l’aimer ». Vu que seules les qualités (parfois imaginaires…) de l’Allemagne sont connues en France, on ne peut donc pas vraiment dire qu’elle y soit aimée. Mais comment apprendre à connaître et supporter ses défauts autrement qu’en y vivant ? Il y a une énorme différence entre aimer l’image de quelque-chose, et aimer cette chose elle-même. »

Aurélie. « J’ai vécu au total 10 ans en Allemagne et suis rentrée en France depuis quelques mois. J’aime beaucoup ce pays où l’on respire, toute l’activité n’est pas concentrée dans une ville. Hambourg, Munich, Düsseldorf, Berlin, Francfort, toutes les villes ont leur charme. Sans autant d’éclat que Paris peut-être mais une simplicité et une sincérité des gens qui fait que l’on s’y sent tout simplement bien. Pas besoin de calculer son look pour aller bruncher entre amis. Autour d’un vin chaud en hiver, d’une bière en été, toutes les excuses sont bonnes pour que les gens sortent et se retrouvent en communauté. Côté travail, oui ils sont plus rigoureux et c’est tellement agréable de savoir qu’une personne qui prend en charge un projet va vraiment s’en occuper. L’Allemand n’est pas vantard, il s’ouvre et s’intéresse à toutes les cultures, il voyage et ne cherche pas systématiquement les allemands à l’étranger. Enfin en amour… vaste sujet, l’Allemand s’enflamme moins et a besoin de plus de temps pour déclarer sa flamme mais c’est d’autant plus sincère. »

Elisabeth, 59 ans. « Consultante en relations internationales, spécialisée sur l’Italie, l’Allemagne et la Grande Bretagne, je constate, à mon grand regret, que malgrè l’évolution de la société, les échanges scolaires et universitaires et une économie globalisée, les préjugés, les idées toutes faites, les à priori perdurent ! Forte de mes expériences à l’étranger et pour faciliter les relations d’affaires et les échanges universitaires, j’ai élaboré des séminaires de formation interculturelle qui n’ont malheureusement pas le succés que j’espérais. J’ai déjà fait quelques conférences sur le sujet dans les Chambres de Commerce mais je suis souvent fort déçue par les réactions du public. »

Les préjugés et les clichés chez les adolescents

En janvier, le magazine Paris-Berlin, qui est partenaire avec Willkommen in Deutschland, a publié un sondage réalisé dans un collège français qui a révélé que 55% des jeunes Français associent l’Allemagne à la période 1933-1945 (nazisme, dictature, camps …). Les non-germanistes ne sont pas attirés par l’Allemagne. Ils l’imaginent comme un pays froid, pluvieux, avec des gens qui parlent fort avec un accent. Bien sûr, ces clichés ne sont pas la réalité et n’empêchent pas les germanistes d’être très attirés par l’Allemagne. En effet, 95% des élèves qui apprennent l’allemand souhaitent découvrir l’Allemagne.

23 avril 2011 Posted by | Relations franco-allemandes | Laisser un commentaire

Promenade sur le Rhin : La Légende de la Lorelei

http://youtu.be/sLXpUgvc6g0

 Heinrich Heine (1797-1856) : die Lorelei (1823)

Die Lorelei                                                                               

Ich weiß nicht, was soll es bedeuten,
Daß ich so traurig bin;
Ein Märchen aus alten Zeiten,
Das kommt mir nicht aus dem Sinn.

Die Luft ist kühl, und es dunkelt, Und ruhig fließt der Rhein;
Der Gipfel des Berges funkelt
Im Abensonnenschein.

Die schönste Jungfrau sitzet
Dort oben wunderbar,
Ihr goldenes Geschmeide blitzet,
Sie kämmt ihr goldenes Haar.

Sie kämmt es mit goldenem Kamme
Und singt ein Lied dabei,
Das hat eine wundersamme,
Gewaltige Melodei.

Den Schiffer im kleinen Schiffe
Ergreift es mit wildem Weh;
Er schaut nicht die Felsenriffe,
Er schaut nur in die Höh.

Ich glaube, die Wellen verschlingen
Am Ende Schiffer und Kahn;
Und das hat mit ihrem Singen
die Lorelei getan.

18 avril 2011 Posted by | art et culture allemande | Laisser un commentaire

Extrait des Racines et des Ailes

 » Arles, le Rhône pour mémoire »

L’héritage enfoui du Rhône Mercredi 30 mars à 20.35 Le Rhône est décidément loin d’être un long fleuve tranquille ! Deux ans après la découverte du désormais célèbre buste de Jules César, les archéologues du DRASSM (Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-marines) ont de nouveau pris leurs quartiers sur la rive droite du Rhône, face au centre historique de la ville d’Arles. Ces plongeurs émérites ont déjà mis au jour un trésor archéologique extraordinaire : une centaine de sculptures et de fragments d’édifices gisaient au fond du fleuve depuis près de 2000 ans… Ils sont aujourd’hui exposés à quelques centaines de mètres de là, au Musée d’Arles ! Mais le Rhône continue de livrer des chefs-d’œuvre antiques… Pourquoi trouve-t-on de telles richesses sur les rives du fleuve ? Quel rôle la cité d’Arles a-t-elle joué dans l’histoire de la Gaule romaine ? C’est le début d’une nouvelle enquête à suspens… L’archéologue Luc Long dirige les campagnes de fouilles. Les dernières découvertes faites dans le Rhône vont le conduire sur les traces… d’une déesse : Artémis, une divinité adorée dans la civilisation grecque ! D’Arles à Ephèse, dans l’actuelle Turquie, en passant par la cité antique de Marseille, l’héritage enfoui du Rhône suit ses investigations et revisite ainsi l’histoire, parfois inattendue, de la Gaule romaine… Illustrés par des reconstitutions inédites en images de synthèse, les travaux des chercheurs permettent de dresser un tableau passionnant des échanges économiques, commerciaux et culturels qui se déroulaient dans le sud de la Gaule, au début de l’Empire… Aujourd’hui, plusieurs villes conservent les traces de cet héritage. A Nîmes, les sculpteurs terminent la restauration de la Maison Carrée. C’est le temple romain le mieux conservé du monde ! Tandis qu’aux Saintes-Maries-de-la-Mer, les archéologues pensent avoir trouvé les vestiges d’un grand port maritime… Intervenants : Eric Teyssier, Maître de Conférences Université de Nîmes. Luc Long, Archéologue DRASSM. Claude Sintès, Directeur du Musée Départemental Arles Antique. Emission enregistrée à la Maison Carrée de Nîmes.

 Un documentaire réalisé parUne pSaléha Gherdane Images : Cyril Havoudjian Son : Raphaël Beauvois Montage : Seamus Haley Production : Eclectic Production / 2ASM

17 avril 2011 Posted by | Archéologie | Laisser un commentaire

Interculture = Multicultures

Rolando Villazòn und Hèlène Grimaud in Berlin

http://youtu.be/EgK7MnJmiXk

15 avril 2011 Posted by | Évènementiel international | Laisser un commentaire

Venezia – Regata storica

http://youtu.be/C57A-_koTVo

14 avril 2011 Posted by | Italia Venezia | Laisser un commentaire

La forza del Design femminile

06/04/2011 – Milano dal 07/04/2011 al 22/04/2011 La forza del design femminile

 Un repertorio di oggetti della cultura italianaLa sensibilità femminile ha influenzato il design italiano degli ultimi cinquant’anni. Lo dimostrano gli oltre 100 oggetti, quasi totalmente fuori produzione, realizzati dal 1945 al 2000 da designer italiane, in esposizione alla biblioteca di Santa Maria Incoronata di Milano dal 7 al 22 aprile prossimi. Curata da Anty Pansera e Mariateresa Chirico la mostra si compone di opere messe a disposizione dai galleristi Daniele Lorenzon (Paloma) e Alessandro Padoan (Fragile). Fra gli oggetti scelti per l’esposizione ci sono non solo pezzi famosi e appartenenti alla storia della cultura del progetto nel nostro Paese ma anche opere dimenticate e altrettanto valide. In rassegna una esaustiva panoramica di oggetti. Dai letti alle sedute, ai tavoli e alle lampade, l’allestimento include anche i più piccoli complementi d’arredo in argento, ceramica, vetro e materia plastica. Il filo conduttore è la sapiente risposta data dalle designer alle esigenze pratiche quotidiane che si esprime attraverso forme originali che qualificano l’ambiente domestico. Le designer italiane, provenienti dalle Facoltà di Architettura, “hanno affrontato con intelligenza e grande sensibilità la progettazione di elementi definibili « oggetti del desiderio »: pezzi di design che negli ultimi cinquanta anni del secolo scorso hanno arredato le nostre case”. Un catalogo pubblicato da Allemandi include tutti gli oggetti selezionati per la mostra e comprende anche saggi critici e le biografe delle protagoniste. L’inaugurazione è in programma giovedì 7 aprile 2011 alle ore 18.30 alla Biblioteca di Santa Maria Incoronata, in corso Garibaldi n. 116 a Milano. La mostra resterà aperta fino al 22 aprile 2011.

12 avril 2011 Posted by | Rome | Laisser un commentaire

Un avocat allemand raconte l’histoire du phénix en italien

 

« A bas les préjugés » !

Dopo aver vissuto per 500 anni, la Fenice sentiva sopraggiungere la sua morte, si ritirava in un luogo appartato e costruiva un nido sulla cima di una quercia o di una palma. Qui accatastava ramoscelli di mirto, incenso, sandalo, legno di c…edro, cannella, spigonardo, mirra e le più pregiate piante balsamiche, con le quali intrecciava un nido a forma di uovo — grande quanto era in grado di trasportarlo (cosa che stabiliva per prove ed errori). Infine vi si adagiava, lasciava che i raggi del sole l’incendiassero, e si lasciava consumare dalle sue stesse fiamme mentre cantava una canzone di rara bellezza.

8 avril 2011 Posted by | Francfort sur le Main | Laisser un commentaire